Ce matin, après avoir écouté l’excellent Grand-Prix d’Australie F-1, bien  enfin je pouvais, vu que pour une fois, levé tot un dimanche, écouter l’émission de Mathieu et Claude Roy que je prenais la plus part du temps  presqu’a la fin, j’ai mème faillis appeler, mais, ma douce en rage de ménage  a soudainement démarrée cette atrocité que l’on nomme balayeuse….donc,, zut, on oublie ça…d’ailleur j’espère que l’on pourra écouter les émissions sauvegardées sur le net un jour, ça serait plaisant.
  Revenant a l’émission, bien  ils parlaient de leurres, grosseur et autre. Ce que j’aurais aimé stipuler, c’est que la plus part du temps l’erreur commise, le sera au début souvent de l’entretient avec  un vendeur ou autres. La question sera souvent, Quel leurre pour tel poisson?, Prend celui la, dira le vendeur,,Mais cette question qui est incomplète,  va la plus part du temps  recevoir une réponse qui le sera aussi. Je m’explique… 

   Quel leurre pour tel poisson(moi je sais ou je vais pêcher)   Prend celui-ci(moi j’en ai pris la ou je pêche) Donc, deux endroits qui , souvent ne seront pas les mèmes, ce qui occasionnera souvent, peu de résultat avec le mème leurre pour deux personnes différentes pour deux endroits différents.

 La question devrait toujours ètre, autant pour les poissons nageurs que les mouche Quel leurre pour tel poisson a tel endroit? oh!,,maintenant nous avons une question beaucoup plus précise et qui décidera surement d’une réponse ou d’un abstinence ou encore d’un détour de la part du vendeur ou autres.. Sois il va  répondre, oui, la , ce leurre est très bon,, ou il va dire, je ne connais pas cet endroit, ou jouer le vendeur ou expert en disant, ce leurre la marche partout. Déja, un peu on viens de clarifier un choix.

  De la viens l’importance de savoir quel est l’espèce ou les espèces visées que l’on se doit d’imiter pour maximiser nos chances de leurrer nos proies convoitées.Plusieurs de nos lacs et rivières et aussi embouchures de rivières au fleuve, vont souvent, dépendant du secteur, du moment ou de la profondeur, contenir différents poissons fourrages en différents lieux de leur configuration et aussi en différents moments de la saison. Il ne faudra pas oublier aussi qu’en cours de saison, les poissons fourrages de ces lieux, sont plus petits au printemps, et grossissent tout au long de l’année, ce qui nous obligera, quand l’espèce ou les espèces sont trouvées, a considérer le fait qu’il  nous en faudra des copies de différentes grandeurs.

    De plus, souvent, en rivières et surtout a leur décharge ou  jusqu’au premier obstacle jusqu’au fleuve, nous feront face a un autre sorte de problème que sont les poissons du fleuve, de passage et ceux  qui deviendront de futurs résidents, c’est a dire, c’était quoi leur nourriture, la d’ou ils viennent?

 Un des plus bel exemple que j’ai sur ce phénomène qui est une réalité est le bas de la chaudière, une fois, j’avais exactement tombé sur le leurre miracle…un après l’autre, en veut tu, en voila.. mème que, j’avais parcouru tous les magasins de pêche pour m’en procurer d’autres, je finis par en trouver chez le seul détaillant qui en possédait et j’ai complètement vidé son étalage.Je débute  le printemps suivant avec une fierté que nul n’avait, ça va ètre facile..que je me disais..Mal m’en pris, car je n’ai repris aucun poisson avec ce que j’avais pris la peine de vider l’étalage…Et la mème saison après avoir tout essayé, je finis par retomber sur un autre leurre miracle, pile dedans, encore un après l’autre, un simple petit poisson brun en caoutchouc…Voila ma saison sauvée…bien oui, encore une fois, que pensez-vous que j’ai fait…on revide l’étalage, pour exactement le mème résultat l’année suivante, rien de rien avec  mon nouveau leurre miracle!

 Donc, je voulais en premier lieu le leurre avant de savoir c’était quoi le menu, qui , au fleuve est tellement variant, c’est que j’ai compris plus tard, vu les déplacements de bancs de poissons. Un banc de poisson se ballade pas mal pour finir par entrer dans la rivière pour sa fraie et de la  plusieurs repartent mais d’autres y demeurent. Mais ce banc, il était ou avant? C’était quoi son menu? perchaude? éperlan? cisco? épinoche? ou autres? voila qui est difficile de déjouer, car c’est ce qui les invitera le plus a attaquer  que de retrouver  la proie qu’ils avaient l’habitude de se nourrir.donc, cela nous obligera a avoir au moins quelques imitations de ce que l’on sais habiter le fleuve et trouver laquelle était sa proie, souvent , on le décèle dans leur viscères, tot au printemps, plus tard, c’est peine perdue car ils se sont acclimaté a leur nouvel entourage, donc ils mordront oui mais pas comme si on trouve l’espèce qui les attiraient avant  et simplement varier son format tout au long de la saison.

 Plusieurs rivières et lacs offrent un autre phénomène, c’est une diversité de proies dépendamment de leur secteurs, ce qu’il faudra aussi connaitre, car dépendament du temps de l’année, ces proies se déplacent, sois dans la rivière ou le lac. Encore la, différents formats aideront tout au long de la saison.
 Pareil comme a la mouche, telle mouche est bonne a un endroit, mais elle imitait ce qui était recherché, bien  les poissons nageurs de telle imitation se doivent d’imiter ce que l’on cherche a imiter.Donc, recherchez toujours a savoir ce que votre plan d’eau contient ou  quest-ce que vos poissons dégustaient la ou ils étaient avant, éviscèrez vos premières prises, si vous trouvez, vous aurez un avantage sur eux, si ils ont des poissons de 2 pouces, c’est ce que vous  vous devez d’imiter et pour le reste de la saison, Munissez vous de plusieurs formats, cela facilitera vos résultats a bien des endroits. Un jour, surement, on aura un inventaire des sortes de poissons fourrages qui habitent nos plans d’eau préférés. Bonne chasse aux poissons fourrages et Bonne Pêche avec vos imitations!